L'un de mes péchés mignons a longtemps été les parfums... et l'est encore.
Jusqu'à en devenir obsessionnel, au point de parfois refuser de sortir simplement parce que le flacon de mon parfum favori était vide.
A une époque j'ai été fou d'Opium (Yves Saint-Laurent), puis d'Obsession (Calvin Klein), puis de Boudoir (Vivienne Westwood) - pourtant hyper féminin et très peu discret -, puis de l'Eau d'Issey (Issey Miyake), puis de Bel Ami (Hermes), puis de Héritage (Guerlain), aujourd'hui de Féminité du Bois (Shiseido).
Féminité du Bois, que je porte actuellement - et en ce moment même, tapotant sur mon mignon clavier noir - est considéré comme un parfum "féminin", mais quelle importance ? Sa senteur est tout simplement divine, je ne m'en priverai pas.
Qd je vais au soleil, ou faire mes UV, je m'enduis d'huile de coco, et j'en ressors merveilleusement ragaillardi (au passage attention, l'huile de coco accentue puissamment l'ardeur des rayons du soleil, et procure un bronzage magnifique, mais est rigoureusement interdite aux peaux sensibles). L'odeur d'un corps imprégné d'huile de coco, disais-je, c'est sublime.
De même, mes bains et mes douches sont assortis de délicieuses fragrances. Hommes ou femmes, nous craquons tous pour ces sensations étranges que nous procurent certains parfums.
Pas vous ?
Terence
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