Les larmes sont une expression de nos émotions, ont dit bien pleurer de tristesse mais aussi de joie ! De nombreux hommes pleurent de joie et cela doit être dificile à contrôler !!
Pour ce qui est des larmes de tristesse ou de douleur tout dépend comment on vit une situation pénible ou triste, on peut la vivre avec philosophie et donc ne pas verser de larmes ou en se blindant par fierté ou peur du jugement des autres et des fausses idées ("un homme ça pleure pas", "si tu es un hommes tu ne pleureras pas !" "Ouuh la nouille elle pleure comme une fille")
Mais tout être humain, homme ou femme, possède la même faculté de pleurer. Les larmes ont certaines vertues d'ailleurs et ne sont pas un simple hasard de la nature (comme on le sait tous, rien n'est jamais dû au hasard) Pleurer soulage et permets d'exprimer le trop plein d'émotions qui si trop longtemps gardé en nous peut être mauvais pour notre santé !
Il existe aussi le don des larmes.
Evidemment c'est une autre histoire mais cela est très intéressant et étonnant. En gros c'est se trouver devant la croix du Christ ou devant une icône ou autre à prier et tout à coup sans penser à quoi que ce soit de triste on se met à pleurer abondamment tout en ressentant une grande paix intérieure et un immense amour (qui n'a rien à voir avec l'amour terrestre mais est bien plus intense) nous submerger mais sans comprendre d'où il vient.
Pour les croyants, les pleurs ne sont donc pas seulement une expression de tristesse ou d'émotion, ils sont des symboles et des moyens d'union à Dieu. (En quelque sorte c'est notre âme qui pleure d'amour au contact de Dieu et ses larmes se matérialent dans nos yeux car notre corps est le moyen d'expression sur terre de notre âme.)
Les ermites du haut Moyen Age cherchaient, par la souffrance ascétique, ce « don des pleurs », dépassant l'habitus (la disposition naturelle) pour atteindre le charisme, véritable joie spirituelle et sensuelle. Le don des larmes est décrit comme un effet de la grâce que Dieu n'accorde qu'aux plus méritants, et d'abord aux moines. Chez ces derniers, ce sont les cisterciens qui ont le plus ardemment cherché le don des larmes et le plus abondamment décrit la joie qu'elles procuraient.
Source : www.scienceshumaines.com