Oups ! Clio, ne comprenant pas ta réaction, je viens de me relire... et c'est clair j'ai mal interprété ta remarque, et ai été incorrect. C'est trop tard je sais, mais je te présente sincèrement mes excuses.
Cela dit, je voulais revenir sur le sujet du deuil. J'ai parlé des chevaux - l'équitation est une de mes passions -, des chiens de mon père et de sa terrible douleur à la mort de Xénia...
Mais ayant été amené à me déplacer bcp, j'ai, devenu adulte, tjrs vécu avec des chats - plus indépendants ils me donnaient la liberté d'exercer mon job sans problème.
Aujourd'hui je n'ai plus de chats. Il m'a été insupportable de perdre mes deux derniers, Eliphas et Melmoth, emportés par le typhus à l'époque où je vivais à Ibiza, il y a sept ans. C'était des chats que m'avaient donnés une Ibizenca qui avait décidé de quitter l'île...
Je ne me pardonnerai jamais de ne pas lui avoir demandé si elle les avait fait vacciner - ça me paraissait trop évident. Mais on était à Ibiza, où les réflexes de base ne sont pas les mêmes qu'ici en France : j'aurais dû y penser, et faire faire un test chez un véto.
Eliphas et Melmoth sont morts à une semaine d'intervalle, l'un et l'autre paralysés en qqs heures, sans gémir mais avec des yeux suppliants. Rien qu'en évoquant ça, je les revois et mes joues sont inondées de larmes.
Sans compter que la culpabilité ne cesse de me hanter.
Terence