bonjour à vous tous, oui, faire le deuil d'un animal avec qui l'on a partagé des années de sa vie c'est dur et cela se comprends quand on est déjà passé par là où quand on aime les amimaux.
Il faut avoir un coeur en pierre pour ne pas pleurer et penser à notre fidèle compagnon qui vient de nous quitter.
en ce qui me concerne, j'avais une petite chienne Laïcka, une femmelle pinsher, très gentille, très sociable mais qui n'a pas eu beaucoup de chance coté santé tout au long de sa vie.
elle a commencé par avoir un premier cancer des tétines, puis deux ans après cette saloperie est revenue, mais ma petite puce s'en est sortie et a repris ses ganbades. C'était une chienne très spide, dont quand elle commençait à se blottir plus souvent contre moi, à me coller à bouger moins je savais que quelques choses n'allait pas.
Nous sommes allés en vacances dans l'Hérault en 2003, année dela canicule pas prévu du tout. Ma petite mémère a fait un AVC, elle a été perfusée 24 heures et à vécu jusqu'au bout avec des médicaments pour le cerveau et le coeur.
Et puis est arrivé, l'année 2007 où là elle a commencé a avoir des problèmes aux yeux, des uvéites, elle avait les yeux qui sortaint des orbites, quelle horreur, donc traitement de cortisones et ça rentrait un peut dans l'ordre.
Puis est arrivé, fin aôut, début septembre où ma petite Laicka a décliné sans que nous comprenions que le fin était là.
un dimanche nous appelons SOS vétérinaire, un nul, qui n'a su que lui faire des perfusions et qui ne sait pas aperçu que notre chienne était mourrante, elle hurlait dès qu'elle bougeait.
Le lundi, 17 septembre, date gravée dans ma mémoire, j'appelle mon vétérinaire qui a été mis au courant par le soit disant véto de garde sos, et mon vétérinaire me demande de venir. Et là, tout le monde à compris, tout le monde en larmes, notre petite chienne a été prise dans les bras par tout le monde pour lui dire au revoir.
J'arrive chez le vétérinaire qu'il l'osculte, il a compris de suite, elle avait une grosse tumeur aux intestins, elle avait 14 ans, tous ces antécédents aussi la décision a du être prise par moi sans réfléchir trop longtemps. Nous en avions parlé avec mon mari la veille pour être d'accord sur la décision prendre en dernier recours.
J'ai donc pris ma chienne dans le bras et le vétérinaire lui a d'abord injecté une piqûre pour la faire dormir, puis, l'injection fatale qui m' a enlevé à tout jamais ma chienne.
Quelque part j'ai soulagé ma chienne en prenant la décision mais jepeux vous dire que cette décison est très dure et quand vous repartez sans votre animal, vous vous dites, jai tué mon chien. 16 mois après en reparlant de ma chiennes les larmes sont toujours là en évoquant ces derniers moments de vie avec nous.
Le pire est que j'ai deux autres chiennes est que malheureusement cette corvée si je puis dire m'incombera de nouveau.
Même mon mari qui s'était promis de ne pas pleurer pour un animal, je lui ai demandé d'aller la voir avant qu'elle parte pour le crématorium et là lui aussi n'a pas pu s'empêcher de pleurer.
Voilà, donc l'histoire de Laîcka ma première chienne qui j'avais tant attendu pendant des années avant de l'avoir et qui maitenant repose en paix, la seule satisfaction pour nous est de savoir qu'au moment ou j'ai pris la décision de l'injection sa souffrance aller s'arrêter.